Participez à l'aventure Mashup Culture® !

Mashup Culture® c’est aussi un concours de productions audiovisuels auquel vous pouvez participer.  Venez Mashup avec nous !

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Philosophie du Mashup Culture®

Dans un contexte d’anxiété face à la différence, la montée des crises d’identité et l’égocentrisme ambiant, Mashup Culture® rappelle l’indispensable exigence du vivre ensemble et fait découvrir ou redécouvrir le visage de l’autre qu’on appréhende de plus en plus. 

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Ambitions & Valeurs

Mashup Culture®️ est la nouvelle forme d’expression artistique 100% audiovisuelle autour de la diversité créée par Faouzia REJEB. L’ambition de ce projet est de brasser les grandes cultures : Orient / Occident / Asie / Afrique / Amérique afin de valoriser les aspects positifs de nos diversités.

GratitudeGénérositéCréativité – HumanismeIntergénérationnelAltruisme

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Concept participatif

Le public dans sa diversité est l’acteur de la création. Ainsi, il est invité à créer et à surprendre par la richesse de son identité culturelle. C’est une manière d’exprimer avec gratitude tout ce que la diversité culturelle nous apporte dans nos vies.

Le projet Mashup Culture®: 3 axes et une ambition !

Sous forme d’un concours de créations audiovisuelles originales destiné aux étudiantes et étudiants.
 

L’objectif est d’exprimer un raccord unique et improbable entre les cultures : Orient, Occident, Asie, Afrique valorisant les aspects positifs de la diversité plutôt que les divergences.

Quatre prix sont décernés :

  • 1er prix (1000€)
  • 2ème prix (500€)
  • 3ème prix (250€)
  • Prix coup de cœur

Visant à créer des ponts entre les organisations/institutions/ entreprises et la jeunesse afin de favoriser les croisements créatifs des cultures et des générations.

La collaboration permet alors à la jeunesse de mettre en avant leurs compétences soft skills et talents favorisant leur succès dans le monde professionnel.

Cet axe décerne trois prix : 

  • 1er prix (1000€)
  • 2ème prix (500€)
  • 3ème prix (300€)

Se concrétise par des cycles de conférences sur celles qui ont changé leur société à travers leurs arts.

Ce volet est dédié à la recon- naissance des femmes artistes issues de diversités souvent négligées ou invisibilisées dans les médias et les espaces artistiques traditionnels.

Mashup Culture® défie les stéréotypes et encourage un nouveau regard sur les contributions uniques de ces femmes à la culture et à la société.

Avis de Michèle Vincent

Michèle Vincent est une experte qui a longtemps travaillé dans le développement des ressources humaines de plusieurs marques et entreprises telles que Bull, Manpower, LVMH, Canal + et Dentsu.
Elle est depuis 10 ans la directrice de Good Morning Change (société de conseil RH). Par ailleurs, elle est présidente de l’IUT de Bobigny et de la Fondation Nationale des IUT.
La rencontre avec Faouzia, la créatrice du projet, date de 2020 et depuis elle est sa mentor sur les dossiers RH et soft skills, une source d’inspiration et d’exigences.

« C’était une soirée émotionnellement incroyable, et je crois qu’on a totalement partagé ces histoires de jeunes, ces regards fabuleux et cela a généré chez tout le monde de l’émotion (même moi j’en ai pleuré) c’était absolument fabuleux.

Donc bravo pour cette soirée qui a été vraiment très forte en émotion.

Ce qui est intéressant c’est déjà de revenir sur les premiers Mashup, c’est à dire avant la soirée. Faouzia quand tu publiais tes Mashup sur LinkedIn, je trouvais déjà qu’on allait au-delà de la diversité telle qu’on la vit, telle qu’on la conçoit, telle qu’on en parle parce que quand on regarde ce qu’il se passe dans ces capsules vidéos, que tu passes beaucoup de temps à mettre en place, on s’aperçoit qu’on a des apports de différentes origines de différentes cultures.

On n’est pas dans le discours « il faut écouter, il faut respecter les autres, il faut inclure » ce n’est pas ça le fond du projet.

Le fond du projet c’est d’avoir des cultures, des origines, des expériences différentes qui vont s’imbriquer, se croiser, se combiner pour construire quelque chose qui ne renie pas les origines de chacun mais qui est complètement différent, un nouveau produit, une nouvelle aventure.

Si je mets ma casquette de femme d’entreprise, c’est tout ce qu’on peut souhaiter pour une équipe ! Parce que chaque personne va venir avec ses compétences, son expérience, son vécu, son point de vue et, de cette combinaison harmonieuse, cohérente, intelligente va sortir quelque chose d’extraordinaire. Et je trouve que c’est vraiment sublimer la notion de diversité. C’est la première leçon que l’on tire de cette expérience Mashup.

Si je reviens sur la soirée, je trouve qu’on est allé sur un autre territoire.

Si je mets ma casquette IUT et Fondation Nationale des IUT, on a un axe d’action qui est très important pour nous : la santé mentale des jeunes.

La santé mentale, on en parle beaucoup, c’est un axe qui a été retenu comme prioritaire par le gouvernement qui a mis en place un début d’année la Commission Nationale d’Accompagnement des Étudiants, qui offre une ligne d’écoute aux étudiants dès qu’ils ont un problème relatif au mal-être, à la discrimination, à la violence. Je trouve que c’est une initiative formidable.

Nous à la FNIUT on voit les choses un peu différemment, on essaye de voir ce qu’il est possible de mettre en place en amont et notamment on est particulièrement intéressé par toutes les initiatives pédagogiques portées soit par les enseignants soit par les étudiants eux-mêmes qui vont justement contribuer à améliorer la santé mentale des jeunes.

Il faut quand même avoir en tête que 75% des troubles en termes de santé mentale apparaissent avant 24 ans, donc c’est une période très sensible. Certes le COVID a amplifié les problématiques de santé mentale mais ça fait longtemps que ça existe.

Quand on regarde tout ce que tu fais (Faouzia), je vais essayer d’expliquer le lien que je vois avec la santé mentale.

La transition entre le lycée et l’enseignement supérieur est une transition de vie absolument clé. C’est un moment de grand changement pour les jeunes : changement d’environnement, changement de mode de vie, changement de cercle social etc. C’est un moment où on a beaucoup de jeunes qui se posent la question de leur identité, sur comment ils vont pouvoir s’affirmer dans ce monde qui est parfois un peu le « wild world », un peu terrible,sauvage et pas toujours très accueillant.

C’est un moment de grande fragilité.

Je trouve que l’expérience Mashup, quand j’ai entendu ces témoignages absolument fantastiques, parce qu’ils étaient vrais, ils étaient honnêtes, ils venaient du cœur de tous les jeunes qui venaient présenter leurs réalisations.

La première chose que j’ai vu c’est des jeunes qui avaient fondamentalement réfléchi sur eux, et qui nous ont dit avec une grande force qu’ils avaient trouvé une identité qu’ils cherchaient, qu’ils avaient trouvé une voie qu’ils avaient du mal à identifier, qu’ils avaient trouvé un moyen d’expression pour parler de leur tour qu’ils n’osaient pas évoquer.

Je trouve que ça a été un travail absolument extraordinaire de révélation pour ces jeunes et qui plus est de révélation partagée avec un grand nombre de personnes.

Donc, un travail comme ça, quand je vois qu’une université lance un travail comme ça avec les jeunes, je me dis que cette université est assise sur une pépite.

J’ai appris depuis que l’université avait décidé de ne pas poursuivre ce travail, je ne peux que le regretter parce que je pense c’est un travail absolument formidable pour permettre aux jeunes de sortir de tous ces questionnements, de ces ruminations qui leur bloquent le cerveau, qui leur permet pas d’avancer et de pouvoir se positionner.

Ça c’est, je dirai, le premier bénéfice que je vois de cette expérience Mashup.

Il y a un deuxième bénéfice, c’est que j’ai trouvé qu’au travers de tous ces témoignages les jeunes avaient profondément réfléchi sur leurs valeurs et ce qui leur permet d’avancer. Ça, c’est une source d’engagement exceptionnelle. Donc là aussi, quelle pépite ! Quelle trésor !

De pouvoir avoir quelqu’un comme toi Faouzia qui fait réfléchir les jeunes sur ce qui motive leur engagement.

C’est un premier volet avec un regard sur les étudiants

J’ai un deuxième bénéfice qui est beaucoup plus lié à mission RH et à mon expérience de recruteuse à partager.

Quand on arrive dans l’enseignement supérieur, j’ai dit que c’était une forte transition de vie par rapport au monde du lycée, mais c’est pareil quand on entre dans le monde du travail.

C’est-à dire que l’autre rupture, l’autre transition se fait quand on sort du milieu étudiant pour entrer dans la vie professionnelle, et c’est pas très simple.

Pas simple pour plusieurs raisons et la première c’est qu’il faut se lancer dans un monde sauvage et trouver un emploi.

Si je me mets du côté du recruteur, depuis plusieurs années maintenant on dit que les soft skills, les fameuses compétences transversales, sociales, comportementales sont très importantes. Sauf que nous recruteur on est souvent confronté à un problème récurrent : lorsque l’on est en entretien et qu’on amène les jeunes à parler de leurs soft skills, même si on l’habitude d’avoir les bonnes questions, on se retrouve avec des jeunes qui ont pu travailler sur ce qui les caractérise en terme de soft skills. Et on a beau poser des questions, essayer d’entrer par différentes voies, on a du mal à faire un pronostic éclairé sur la capacité des jeunes qu’on a en face de nous à pouvoir mettre en action ces soft skills dans le poste pour lequel ils postulent.

Je trouve que le travail qui a été fait est un exceptionnel révélateur de soft skills avec un double bénéfice :

– Pour les jeunes la capacité à prendre conscience de ce que sont les soft skills, de ceux qu’ils possèdent

– Et surtout, parce qu’ils vivent une expérience, de pouvoir en parler et de pouvoir s’appuyer sur cette expérience pour échanger avec un futur recruteur

Donc je trouve déjà que c’est un fabuleux outil d’insertion professionnelle, et je regrette là encore que ça ne soit pas maintenu dans cette université parce que, on voit bien ce qu’il se passe dans les sessions d’insertion professionnelle. Ok on aide les jeunes à faire leur CV, à se préparer aux entretiens. Mais trop peu souvent on les amène à réfléchir à ce qui les caractérise sur leurs soft skills. D’autant plus que tout au travers de cette expérience, les jeunes ont pris conscience d’une chose, qui est très importante également en termes de santé mentale : « qu’est-ce que j’ai dans mon sac à dos de ressource, qu’est-ce que je vais pouvoir activer lorsque je suis confronté à quelque chose de nouveau, dans un environnement qui me perturbe, quelles sont mes ressources ? »

Là aussi c’est un élément très important.

Et puis il y a un dernier point.

Tout à l’heure j’ai dit que la transition entre l’enseignement supérieur et la vie professionnelle était difficile. Elle est particulièrement violente je trouve la première année de travail.

Il y a quelques années avec une formidable consultante qui était psychologue, Flore Lesavre, on avait monter un produit spécifique pour accompagner la première année des jeunes qui intégraient la structure dans laquelle j’étais, ça s’appelait Joker.

On travaillait sur trois dimensions :

– Quelles sont les compétences que vous avez acquises durant cette première année ?

– Où vous en êtes de votre autonomie ? Est-ce que vous avez gagné en autonomie ? Comment vous vous situez en termes d’autonomie ?

– Et au niveau social ? Comment vous-êtes vous intégrés ? Quels sont les réseaux que vous avez développés ? Qu’est-ce que vous avez appris avec les autres ?

Ces trois axes sont classiques, ce sont trois leviers qui composent fondamentalement ce qu’on appelle la motivation intrinsèque.

Donc on travaillait là-dessus au bout d’un an pour aider les jeunes à comprendre le bénéfice qu’ils avaient pu retirer de cette première expérience et on les amenait dans le cadre d’un projet de développement personnel à réfléchir sur : à quoi la deuxième année allait leur servir ? Qu’est-ce que ça allait leur apporter.

Et je trouve que le travail que tu as fait avec cette expérience Mashup auprès des jeunes est finalement un embryon de tout ça. C’est à dire que : bien évidemment ils réfléchissent sur eux, ils réfléchissent sur leurs compétences, quelqu’un l’a dit : « avant Mashup il y avait plein de choses que je ne pouvais pas faire, et après cette expérience j’ai pu faire telles choses, telles choses etc. », ils travaillent sur l’autonomie. Et puis bien évidemment c’est aussi travailler sur leur positionnement social.

Donc autant d’éléments qui sont pour moi que ce soit d’un point de vue santé mentale, d’un point de vue accompagnement dans l’insertion, d’un point de vue professionnel, que ce soit d’un point de vue soft skills, ce sont des forces incroyables développées par ce programme et merci.

Je peux dire que ça.

Merci, grandes félicitations 

Michèle Vincent

AFTERMOVIE | Soirée du Mashup Culture® 2024 dans les locaux de notre partenaire Mediawan

Quelques mots de nos parrains sur la Soirée Mashup Culture®

"Merci, j'ai passé un moment solaire. Ces jeunes sont notre avenir. Tu es ce lien."
"Pour une première édition, c'est extrêmement prometteur. Les élèves étaient motivés, le concept est original et apporte un vrai regard, et donne envie à un débat ou analyse pour prolonger ce moment."
"Un sacré beau moment de partage autour des différences qui nous réunissent et nous constituent. Où chacun a pu dévoiler son passé avec lequel se construit son futur. Une riche idée que ce Mashup Culture®, lieu d’échange profond et unique qui a autorisé de vraies rencontres"
"Le festival Mashup Culture® nous rappelle l’égale dignité de toute les cultures et leur vocation à s’interpénétrer, c’est avant tout un concept citoyen et participatif qui puise dans notre mémoire collective et qui nous ramène à l’indispensable exigence du vivre ensemble (…) Apprenons à nous comprendre, à nous parler, à travailler ensemble, dans le respect, la lucidité, et la fierté de ce que nous sommes, tel est le sens, tel est l’enjeu du dialogue des cultures, du partage des cultures, telle est votre mission, notre mission"

« Pour aller résolument vers l’autre, il faut avoir les bras ouverts et la tête haute, et l’on ne peut avoir les bras ouverts que si l’on a la tête haute. » 

Amin Maalouf

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